Les membres de l’équipe de recherche Kwame Nkrumah
L’animation des activités scientifiques de l’équipe de recherche Kwame Nkrumah est assurée par un groupe de chercheurs séniors et juniors issus de plusieurs disciplines en sciences sociales et humaines, et de diverses nationalités. Ce groupe de recherche reste ouvert à ceux qui voudraient en être membres et contribuer à la compréhension scientifique des défis et enjeux de la renaissance africaine au 21é siècle.
Jeremie Diye
Le professeur Jeremie Diye est de nationalité camerounaise. Il est professeur associé au département d’histoire de l’université de Maroua. Il est actuellement Chef du Département d’Histoire à l’Ecole Normale Supérieure de l’Université de Maroua. Consultant du CREN dans la mise en œuvre du PARC/FHI360 et consultant permanent du Gredysop-APPIC.
Le professeur Diye participe à des colloques internationaux et s’intéresse aux questions liées aux relations intercommunautaires, à l’histoire, à l’ethnicité, à l’identité, aux conflits et à la construction de la paix.
Roland MULUMBA NDIADIA
Roland Mulumba Ndiadia est historien, assistant à la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université de Kinshasa. Ses recherches portent principalement sur l’histoire politique de l’Afrique contemporaine, les relations internationales, mais également sur les questions militaires, identitaires et de gouvernance. Membre fondateur de l’École Scientifique des Jeunes Révolutionnaires d’Afrique (ESJRA) au sein de laquelle il est chargé de la recherche scientifique, il s’intéresse particulièrement aux problématiques liées à la renaissance africaine
SALI
Sali est titulaire d’un Doctorat / Ph.D en Histoire. Il s’intéresse globalement aux questions qui impactent la sécurité et le développement de l’Afrique. Sur cet angle, il aborde les migrations transfrontalières et internationales, la mobilité criminelle, la sécurité, la paix, la défense, l’extrémisme violent, la géostratégie, les relations afro-africaines.
Winnie Patricia ETONDE NJAYOU
ETONDE NJAYOU Winnie Patricia est titulaire d’un Doctorat/Ph.D en Science Politique, spécialisée en socio-anthropologie dont les travaux portent sur les adaptations des chefferies traditionnelles à la gouvernance coloniale et néo-coloniale à travers le temps, l’espace et les rapports de force qui en découlent. Ses recherches et ses écrits sont enracinés dans les changements survenus au sein des sociétés traditionnelles camerounaises et traversent les domaines de l’anthropologie, de la sociologie, des études autochtones ainsi que de l’administration publique. Ses recherches récentes portent sur l’administration coloniale allemande et les pouvoirs politiques traditionnels Duala et Bamun au Cameroun.
METSENA NDJAVOUA
METSENA NDJAVOUA est titulaire d’un doctorat /PhD en Histoire politique et des Relations Internationales. Il est spécialiste des questions de paix, sécurité et gestion des conflits dans le bassin du lac Tchad. Il a également participé à plusieurs rencontres internationales sur les questions migratoires, la sécurité collective régionale, l’extrémisme, la paix et le développement en Afrique. Il est auteur de plusieurs articles scientifiques dans les domaines sus-indiqués. Son engagement dans l’équipe de recherche KWAME NKRUMAH témoigne de l’intérêt qu’il porte aux questions liées à la renaissance africaine.
Ariel MBEM
Ariel MBEM est Doctorant en Histoire des Relations Internationales à l’Université de Yaoundé 1 (Cameroun) et titulaire d’un master en Science Politique à l’Université de Dschang (Cameroun). Le sujet de sa thèse porte sur les ingérences électorales internationales dans le golfe de Guinée. Il est par ailleurs chercheur au CERDIA, auteur de cinq publications scientifiques et de plusieurs autres en cours de publication. Sa production scientifique s’est spécialisée sur les questions de la gouvernance internationale des élections en Afrique subsaharienne. Il voue un intérêt pour la renaissance africaine en orientant ses travaux sur la consolidation de la démocratie sur le continent à travers l’intégration électorale panafricaine
Méchak Eliezer MBANI
Méchak Eliezer MBANI est doctorant en histoire contemporaine de l’Afrique à la Faculté des Lettres, Arts et Sciences de l’université Marien Ngouabi en République du Congo. Ses travaux de recherche portent sur les politiques de décentralisation, les affaires locales et autonomie des collectivités locales, les autorités locales et décentralisation, la colonisation et la décolonisation.
Clovis Kenny AKOMBOH
Clovis Kenny AKOMBOH est titulaire d’un Master en Histoire des relations internationales. Ancien élève-professeur de l’Ecole Normale Supérieure de Yaoundé (Promotion 2021), Clovis est auteur de plusieurs productions scientifiques. Outre ses écrits sur les nouvelles formes d’esclavage en Afrique, il s’intéresse aux activités extractives des entreprises chinoises en Afrique centrale. Son intérêt pour les questions relatives au développement économique de l’Afrique justifie sa présence au sein de l’équipe de recherche KWAME NKRUMAH.
Martin ZAZA
Martin ZAZA est titulaire d’un Master en Histoire Economique et Sociale. Ses recherches et publications scientifiques se préoccupent de la gouvernance des litiges fonciers au Cameroun, notamment dans la région des Monts-Mandara. Ainsi étudie-t-il les causes, les manifestations, les conséquences socio-économiques et les mécanismes de résolution des litiges fonciers. Il s’intéresse également aux sujets relatifs à la renaissance économique du continent africain.
Ag Alhassane Mohamed
Administrateur et point focal du groupe ONU- Jeunes au Mali, Ag Alhassane Mohamed a acquis, dans ce cadre, une forte expérience dans le domaine de l’humanitaire. Il est l’interface entre l’Equipe de recherche Kwamé Nkrumah et la communauté des universitaires maliens et des organisations de la société civile de ce pays. Sa participation dans plusieurs missions de recherche au Mali, notamment en ce qui concerne la collecte et le traitement des données, est un atout pour la présente équipe de recherche. Aussi, il s’assure la mobilisation et l’imprégnation des jeunes ouest-africains en faveur de l’idéal panafricaniste.